Certains historiens émettent des doutes sur la relation qui a uni Anne d'Autriche et le Cardinal Mazarin.
L'astrologie peut-elle amener des éléments d'investigation complémentaires ?
La conjonction partile Vénus-Mercure (à 8° du Lion) du thème du Cardinal vient s'insérer entre la Lune et Vénus de la Reine en conjonction avec son Ascendant.
La tonalité sentimentale de la relation est établie par cette seule configuration.
Mais cette relation était vouée aux pires difficultés. En effet, cette même conjonction Vénus-Mercure vient se positionner en point Apex du T-Carré qu'elle forme avec l'opposition partile (8° Taureau - 8° Scorpion) du thème de la Reine. Ce T-carré a dû générer un vécu aussi intense que douloureux.
La relation a-t-elle été consommée ? On peut répondre par l'affirmative à cette question :
. Parce que Mercure du Cardinal déjà mentionné maîtrise la VIII du Cardinal et que ce Mercure vient s'intégrer à l'amas sur l'Ascendant de la Reine. Cet amas contient Vénus Maître de VIII par exaltation et Mars.
. Parce que le Milieu de Ciel de la Reine se superpose à Pluton natal du Cardinal
. Et enfin parce que Mars natal du Cardinal vient flirter avec Jupiter, Maître de VIII de la Reine.
Par delà ces considérations, il convient de souligner que, en regard de l'astrologie karmique, ces deux personnages semblent s'être donnés rendez-vous en cette vie. En effet, le Noeud Sud de la Reine se superpose de façon partile avec la NLA (Nouvelle Lune d'Avant naissance) du Cardinal, ce qui témoigne d'un vécu significatif dans les vies passées.
Mais l'aventure n'est pas terminée : Le Noeud Nord du Cardinal se superpose avec la Lune Noire Vraie de la Reine. Outre la fascination que le Cardinal devait ressentir pour la Reine, cette configuration parle également d'un but commun à atteindre.
Charles Caron Belato
www.astres.net
Je me propose de réaliser dans ce blog quelques études astrologiques au gré de l'actualité, de mes humeurs et de mes disponibilités.
dimanche 15 février 2009
Neptune
Après avoir gagné la guerre qui leur permit de délivrer et de destituer leur père Chronos, Zeus, Poséidon et Hadès se livrèrent à une sorte de Yalta.
Le ciel fut attribué à Zeus, le monde souterrain à Hadès et la mer à Poséidon. Poséidon est l’égal de son frère Zeus en magnificence mais il reçut moins de pouvoir que lui. C’est pourquoi, d’un caractère bourru et querelleur, il partit, certainement en boudant, se réfugier au fond de son nouveau domaine où il se fit aussitôt bâtir un palais au fond de la mer, au large d’Aégée, port Béotien. Mais, au fond de l’eau, il souffrit vite de la solitude. C’est pourquoi il entreprit de courtiser Thétis, mais comme Thémis avait prophétisé que tout fils qui naîtrait de Thétis serait plus grand que son père, il laissa tomber. Et il jeta son dévolu sur Amphitrite. Mais la perspective de finir ses jours au fond de l’eau n’enchanta pas Amphitrite, c’est pourquoi elle alla se cacher dans les montagnes de l’Atlas pour échapper à son prétendant. Neptune envoya alors des messagers à sa poursuite parmi lesquels un certain Delphinos qui plaida la cause de Poséidon d’une façon si charmante qu’elle accepta et le pria de d’organiser le mariage. Pour le remercier, Poséidon plaça l’image de Delphinos dans le ciel. C’est la constellation du Dauphin. Amphitrite donna trois enfants à Poséidon : Triton, Rhodé et Benthésicymé. Et Poséidon donna à Amphitrite autant de raisons d’être jalouse que Zeus en donna à Héra. En effet, il multiplia des aventures avec des déesses, des nymphes et des mortelles.
Poséidon se sentait un peu exilé au fond des eaux c’est ce qui explique ses multiples tentatives pour entrer en possession de royaumes terrestres qui ont toutes avorté.
Poséidon se vante d’avoir créé le cheval, mais cette création lui est contestée. Il se vante également d’avoir inventé la bride, mais là également il est contesté. Par contre personne ne lui conteste le fait d’avoir institué les courses de chevaux. En tout cas, son lien avec les chevaux est indéniable, peut-être en raison de son aventure avec Déméter.
Déméter, en larmes, était à la recherche de sa fille Perséphone. Elle était fatiguée, découragée, angoissée et peu disposée à des badinages amoureux. C’est pourquoi, afin de pouvoir se reposer en paix, elle se transforma en jument et s’en fût paître avec le troupeau d’un certain Oncos, fils d’Apollon. Mais elle ne réussit pas à duper Poséidon qui se transforma lui-même en étalon et s’unit à elle. De cette union indigne naquit la nymphe Despoena et le cheval sauvage Aérion. D’autre part, de ses amours incestueuses avec Méduse naquit toute une lignée de monstres, symboles de son immoralité, parmi lesquels se trouvait Pégase, le magnifique et magique cheval ailé. (Méduse était la petite-fille de son demi-frère Pontos né de Gaïa par parthénogénèse. Elle était mortelle). |
Commentaires
Poséidon fut incapable d’entrer en possession de royaumes terrestre ce qui est à mettre en relation avec le fait que Neptune ne donne aucune disposition pour acquérir et gérer les biens matériels.
Cette préoccupation de toujours accroître ses territoires déjà immenses met en évidence le fait que Neptune n’a pas de limites. Par ailleurs, son incapacité à installer son pouvoir sur terre indique que son action n’est pas de ce monde. C’est pour se venger qu’il fait naître les tempêtes et les inondations.
Zeus et Poséidon se ressemblaient beaucoup, ce qui explique la proximité des symboles qui sont rattachés à Jupiter et Neptune ainsi que leur maîtrise commune sur le signe des Poissons.
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Bibliographie Robert Graves Les mythes grecs. Maryse Starace Les enfants dialoguent avec les dieux du zodiaque. Marie Marczak Dialogue de planètes. Charles Caron Belato www.astres.net |
Mars
Arès est le dieu de la guerre. C’est un dieu cruel qui inspire la crainte et la terreur et qui génère la discorde. C’est un fauteur de troubles.
Ses parents le détestent. Ils ne lui accordent ni leur protection ni leur tendresse, seulement leur indifférence mal intentionnée. Zeus, son père, ne l’écoute pas. Et, lorsque Arès vient se plaindre à lui, il lui reproche d’avoir le même sale caractère, jaloux et vindicatif, que sa mère, Héra. Tous ses compagnons immortels le haïssent excepté Eris, sa sœur, et Aphrodite qui éprouvent pour lui une passion perverse, ainsi que le vorace Hadès qui accueille les jeunes et valeureux guerriers tombés au combat. Les mortels le maudissent et le redoutent.
Selon d’autres sources Arès était le fils de Zeus et de Junon, Junon qui voulut avoir la gloire de mettre au monde un enfant toute seule, sans la participation ni de son époux ni d’un amant. Elle alla toucher une fleur des champs d’Olène, ce qui suffit pour donner le jour à ce dieu terrible. Elle confia l’éducation de son fils à l’un des Titans. Ce Titan lui apprit l’art de la guerre.
Arès est seul et il doit combattre tout seul. Il se bat pour son propre plaisir. Il cherche constamment des occasions de susciter la guerre en propageant des rumeurs et en instillant la jalousie dans les cœurs. Il ne favorise jamais une cité ou un parti plutôt qu’un autre, mais il combat dans un camp ou dans un autre selon ses sympathies. Il n’est heureux que lorsqu’il tue ou lorsqu’il pille.
Cependant, il ne fut pas toujours victorieux. Athéna, plus adroite, l’emporta deux fois sur lui au combat. Et les géants d’Aloïdes le firent prisonnier et le gardèrent enfermé dans un vase d’airain pendant treize mois. Il était à demi-mort lorsque Hermès vint le délivrer.
En une autre circonstance, Héraclès l’obligea à revenir en courant dans l’Olympe, fou de terreur.
Durant la guerre de Troie, il est l’allié d’Aphrodite, mais sa mère le chasse du champ de bataille et exhorte Diomède – son propre fils - à le frapper de son javelot qu’Athéna, sa demi-sœur et fille chérie de Jupiter dirigera pour le blesser.
Ainsi, ni ses parents, ni son fils, ni sa demi-sœur ne le soutiennent. Il suscite sans le vouloir les querelles familiales.
De même, il se querella avec Vulcain, son rival, pour l’amour d’Aphrodite. Ainsi, l’affection et l’amour ne lui réussissent pas.
Il fut également blessé à la cuisse par Hercule. Arès n’est pas invincible. Peut-être est-ce cette absence d’amour tendre qui l’a rendu vulnérable et qui le fait hurler lorsqu’il a mal et fuir lorsqu’il est blessé.
Arès eut un fils avec Andronice ou Démonice : Thespius qui devint roi d’Aétolie et se maria avec Laophonte. Il fut père de cinquante filles qui furent toutes séduites par Hercule.
En cas de contentieux, Hermès préfère le combat sur le terrain plutôt que les tribunaux. On ne le vit participer à un procès qu’une seule fois, lorsqu’il fut accusé du meurtre prémédité de Halirrothios, fils de Poséidon. Il prétexta que, sans son intervention, sa fille Alcippé, de la famille de Cécrops, aurait été violée par ledit Halirrothios. Comme personne n’avait été témoin du crime excepté Arès lui-même et Alcippé qui naturellement confirma les dires de son père, le tribunal l’acquitta. La colline sur laquelle se déroula le procès fut appelée Aréopage.
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Commentaires
A cause de ses amours avec Aphrodite, Arès a pour attribut la sexualité. La sexualité et non l’amour. Ses performances physiques ne l’empêchent pas de souffrir du manque d’amour. Il souffre de ne pas être aimé. En opposition à nos chevaliers du Moyen Age qui combattaient pour l’amour de leur Doulce Dame, ce qui galvanisait leurs forces et donnaient un sens à leurs luttes, Mars, lui, ne se bat sans autre but que le plaisir de se battre. Et, loin d’être invincible, il lui arrive de tomber sur plus fort que lui et de connaître la défaite et même d’être blessé. |
Bibliographie Robert Graves Les mythes grecs. Maryse Starace Les enfants dialoguent avec les dieux du zodiaque. Marie Marczak Dialogue de planètes. Charles Caron Belato www.astres.net |
Vénus
Aphrodite était mariée à Héphaïstos, le dieu-forgeron boiteux. Mais le véritable père des enfants d’Aphrodite (Phobos, Déimos et Harmonie) n’était pas Héphaïstos mais Arès (Mars), le dieu de la guerre, beau, fougueux, ivrogne et querelleur.
Héphaïstos aurait été dupe longtemps si Hélios n’avait pas surpris les amants dans le lit du palais d’Arès en Thrace. Et hélios n’a rien trouvé de mieux que d’aller tout raconter à l’infortuné Héphaïstos. Héphaïstos, furieux et jaloux, fabriqua en toute hâte un filet de chasse en bronze aussi léger qu’un fil de la vierge et il le fixa en secret aux colonnes et aux bords de son lit conjugal. Quand Aphrodite rentra de Thrace, il lui annonça qu’il partait quelques jours en congé sur l’île de Lemnos. Aphrodite ne lui proposa pas de l’accompagner et, dès qu’il eut le dos tourné, elle se dépêcha d’envoyer chercher Arès. Arès arrive très vite et les amants se mettent au lit mais, le matin, ils se retrouvent empêtrés dans le filet, tout nus, et dans l’impossibilité d’agir. Héphaïstos qui était resté dans le coin arrive et constate le flagrant délit d’adultère. Il convoque aussitôt tous les dieux pour qu’ils soient témoins de son déshonneur. Il déclare alors qu’il ne délivrerait sa femme que lorsque les précieux cadeaux de mariage qu’il avait offerts à Zeus, père adoptif d’Aphrodite, lui seraient rendus. Les dieux, avec un soupçon de perversité, ne se font pas prier pour venir contempler la nudité d’Aphrodite. Les déesses par contre font preuve de tact et restent chez elles. Apollon, donnant un coup de coude à Hermès : - Avoue que tu ne serais pas mécontent d’être à la place d’Arès, malgré le filet et tout … Hermès avoua qu’il aurait été enchanté, même s’il y avait eu trois filets et que toutes les déesses fussent présentes avec un air désapprobateur. Sur ces mots les deux dieux se mirent à rire d’un rire bruyant et grivois. Ce qui irrita Zeus. Il refusa de rendre les cadeaux de mariage et il ne voulut pas s’immiscer dans une vulgaire querelle de couple. Il dit à Héphaïstos qu’il avait été stupide de porter cette histoire sur la place publique. Et, très en colère, il tourna les talons. Poséidon, par contre, était beaucoup plus sensible. Et, devant la nudité d’Aphrodite, il était tombé follement amoureux d’elle. C’est pourquoi, poussé par une secrète jalousie, il s’offrit de faire payer à Arès l’équivalent de ses fameux cadeaux de mariage en échange de sa libération. Ainsi fut fait, Arès fut libéré et Poséidon, se portant caution, s’engagea si Arès ne remboursait pas, à payer à sa place et à épouser Aphrodite. Arès, sitôt libéré, retourna en Thrace, et Aphrodite se rendit à Paphos où elle se refit une virginité dans la mer.
Flattée de la déclaration d’amour spontanée d’Hermès, Aphrodite passa, peu de temps après, une nuit avec lui. Ainsi naquit un enfant bisexué appelé Hermaphrodite. Touchée également par l’intervention de Poséidon en sa faveur, elle lui donna deux fils : Rhodos et Hérophilos.
Finalement, ni Zeus ni Arès ne remboursèrent les cadeaux de mariage et Héphaïstos laissa tomber parce qu’il était follement amoureux de sa femme et n’avait aucunement l’intention de divorcer.
Plus tard, Aphrodite céda à Dionysos et lui donna Priape. C’était un enfant laid pourvu d’organes génitaux énormes. C’est Héra qui lui avait donné cette apparence obscène pour témoigner à Aphrodite sa désapprobation à l’égard de sa conduite. Priape est jardinier et porte une serpette.
Les Parques avaient assigné à Aphrodite un unique devoir divin : aimer. Mais un jour Athéna la surprit en train de travailler sur un métier à tisser. Elle se plaignit aussitôt du fait que l’on avait empiété sur ses prérogatives et elle menaça d’y renoncer complètement. Aphrodite s’excusa vivement et depuis lors elle n’a plus jamais rien fait de ses mains.
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Bibliographie Robert Graves Les mythes grecs. Maryse Starace Les enfants dialoguent avec les dieux du zodiaque. Marie Marczak Dialogue de planètes. Charles Caron Belato www.astres.net |
samedi 14 février 2009
Catherine Millet
Le thème de l'auteur de "La vie sexuelle de Catherine M." montre une réception mutuelle entre le Soleil et Mars, le Maître d'Ascendant. Ces deux planètes de feu donnent un tempérament fort avec de bonnes capacités pour devenir un leader. Toutefois l'opposition partile Soleil - Neptune vient brouiller les cartes en générant une tendance sinon à la fabulation, du moins au manque de rigueur dans la façon d'être et dans la façon de faire.
On note également la position partile de Mercure sur la cuspide de VIII. Mercure est le Maître symbolique de III, ce qui donne une communication fortement teintée par la Maison VIII : la native parle de sexualité sur un mode d'expression de la VIII c'est à dire sans raffinement et probablement avec salacité ou en tous cas de façon crue.
Neptune, Maître de VIII, indique une sexualité sans limite et sans repères, c'est à dire sans tabou, sans règles, sans freins, ce qui est confirmé par la position des deux Maîtres symboliques de VIII (Mars et Pluton) en conjonction en Maison XII (La Maison XII est en affinité avec les Poissons et Neptune).
Mars et Pluton encadrent Saturne, Saturne qui hésite toujours entre frustration et boulimie. La débilité de Saturne en Lion ne lui permet pas d'exprimer son potentiel de frustration. Reste la boulimie. Mais cette seule configuration ne permet pas d'expliquer les performances sexuelles que rapporte Catherine Millet dans son livre.
En effet, les différents points abordés ci-dessus ne permettent pas d'expliquer un tel vécu. Cette trame du thème exprime un climat mais non un vécu.
La clé du comportement sexuel de Catherine Millet tient dans l'opposition partile entre Mars et la Lune Noire moyenne. En effet, opposé à la Lune Noire se trouve toujours Priape que l'on ne représente pas sur les thèmes par soucis de lisibilité. Ici Priape se trouve en conjonction partile avec Mars.
Priape dilate tout de façon bien plus démesurée que Jupiter. Une conjonction partile Priape - Mars devient symbole de "priapisme". Peut-on appliquer ce terme à une naissance féminine ? La physiologie ne le permet pas. Et pourtant le vécu est bien là. Une telle configuration crée un besoin que rien ne peut arrêter, je serai même tenté d'écrire que rien ne peut assouvir.
La sensualité et la sentimentalité n'entrent pas en ligne de compte ici, le besoin est en quelque sorte, et si je puis me permettre, mécanique.
Charles Caron Belato
www.astres.net
On note également la position partile de Mercure sur la cuspide de VIII. Mercure est le Maître symbolique de III, ce qui donne une communication fortement teintée par la Maison VIII : la native parle de sexualité sur un mode d'expression de la VIII c'est à dire sans raffinement et probablement avec salacité ou en tous cas de façon crue.
Neptune, Maître de VIII, indique une sexualité sans limite et sans repères, c'est à dire sans tabou, sans règles, sans freins, ce qui est confirmé par la position des deux Maîtres symboliques de VIII (Mars et Pluton) en conjonction en Maison XII (La Maison XII est en affinité avec les Poissons et Neptune).
Mars et Pluton encadrent Saturne, Saturne qui hésite toujours entre frustration et boulimie. La débilité de Saturne en Lion ne lui permet pas d'exprimer son potentiel de frustration. Reste la boulimie. Mais cette seule configuration ne permet pas d'expliquer les performances sexuelles que rapporte Catherine Millet dans son livre.
En effet, les différents points abordés ci-dessus ne permettent pas d'expliquer un tel vécu. Cette trame du thème exprime un climat mais non un vécu.
La clé du comportement sexuel de Catherine Millet tient dans l'opposition partile entre Mars et la Lune Noire moyenne. En effet, opposé à la Lune Noire se trouve toujours Priape que l'on ne représente pas sur les thèmes par soucis de lisibilité. Ici Priape se trouve en conjonction partile avec Mars.
Priape dilate tout de façon bien plus démesurée que Jupiter. Une conjonction partile Priape - Mars devient symbole de "priapisme". Peut-on appliquer ce terme à une naissance féminine ? La physiologie ne le permet pas. Et pourtant le vécu est bien là. Une telle configuration crée un besoin que rien ne peut arrêter, je serai même tenté d'écrire que rien ne peut assouvir.
La sensualité et la sentimentalité n'entrent pas en ligne de compte ici, le besoin est en quelque sorte, et si je puis me permettre, mécanique.
Charles Caron Belato
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